mercredi 14 janvier 2015

Dans le miroir

Aujourd'hui et depuis un bout de temps je tenais absolument à écrire sur  les donneuses.


                   
Mais cela n'est pas facile, (je me demande bien ce qui est facile ici d'ailleurs??)

On ne sait jamais : trop ou pas assez en dire,
car Oui ils ne faut leur donner trop de place et
Non  on ne doit pas les occulter.

Alors parlons en une bonne fois pour toutes en temps et en heure.

  On sait bien qu'elles existent , mais qui sont elles?
      On sait bien qu'elles sont comme tout le monde et pourtant...

  On ne connait que si peu de choses d 'elles,

On comprend  bien que cela est fait pour préserver leur anonymat,
 aussi par la même occasion qu'elles se fassent toutes discrètes  dans notre histoire déjà bien remplit de monde....

Pour qu'elles s'effacent ensuite rapidement.

Pour que nous prenions notre place.

Alors c'est pour ça, dans ma tête de rêveuse...

Les donneuses... c'est comme des nymphes irréelles,
une silhouette blanche qui se perd dans l'horizon,
quelque chose de doux ...de flou ...qui s'évapore au loin....
Une exauceuse de voeux....
     Votre fée marraine bienveillante qui s'est penché sur votre sort ...
                      un joli secret rien que pour vous.


Ces femmes qui???

 Pour je ne sais quelle raison ???

 Donnent leurs ovocytes !

Altruisme ou raisons pécunières, elles  se retrouvent à subir les mêmes traitements que nous Infertiles
pour faire don de leurs ovocytes sans vraiment d'obligation.


Rien que cela , nous savons que ce n'est pas rien.
Ces piqures, ces produits, ces rdv....
ça n'est pas simple au féminin.

Cela dissuade un grand nombre.
Sans compter celles qui s'en foutent.
Celles qui n'y comprennent rien .
Il ne reste pas grand monde ,ce qui les rend d'autant  plus particulières.
 

J'essaie de m'imaginer être une de ceux là.

- des donneuse ici    et là   - et encore .-

Mlaheureusement mon imagination me fait vilainement défaut tellement l 'infertilité à tout vider en moi....
pourtant  ...

J'imagine ...avoir des enfants , être si heureuse de ma situation à vouloir rendre le monde meilleur
par ma générosité , alors croiser des témoignages et moi même faire des démarches pour donner....donner ce qui me rend à moi le plus heureuse...

J'imagine .....être étudiante étrangère  , vouloir réussir toute seule et lire des annonces de recherches de donneuses et pourquoi pas postuler, parce que c'est de notre temps, comme on donne son sang....

J'imagine être jeune femme super active businness girl prévoyante au courant de tout ET  déjà maman , pas le temps de rien , tiens je vais vitrifier mes ovocytes pour plus tard....quand j'aurais le temps,on sait jamais un petit dernier...
et on me parle du don  et pourquoi pas je suis touchée , je donne aussi ...

J'imagine une femme tranquille, vie rangée rien de spécial, juste donner pour arrondir les fins de mois
parce qu'elle sait combien il y a de la demande...

J'imagine une soeur , donner pour aider à la priorité, parce que sa soeur, son amie, sa cousine ne peut pas....
alors donner par amour et solidarité pour faire avancer la chaîne; l'attente ...

Il n'y a pas de profil type, il y a des femmes qui donnent.
Quel interêt de connaitre le pourquoi de leur don.
Mais j'aime à croire que pour toutes les raisons du monde ,elles sont de fait de bonnes personnes.


Est ce que si j'étais donneuse j'aurais le sentiment d'offrir un enfant ?

Non , je ne le pense pas.
J'offrirais une opportunité, du bonheur possible,
une pâte à modeler....
De la vie offerte .
En tout cas la meilleure partie de moi.

De toutes ces femmes différentes, de toutes leurs vies différentes, de toutes leurs motivations différentes,
 temps,  amour, compassion, générosité,
  naitront des enfants,
tout  simplement des enfants qui rendront heureuses des receveuses .

Je voulais remercier les DONNEUSES,

car quelque part bientôt une fille que je ne connais pas, qui ne me connait pas va se planter des aiguilles...
stimuler ses hormones,faire ses écho, se faire ponctionner ....

J'imagine ma nymphe au loin....

Me donner une infime poussière qui  peut être m'éclairera toute ma vie durant...
Elle sait que j'existe, je sais qu'elle existe.
Et je l'en remercie et je trouve tout cela juste merveilleux.

Et vous quel serait votre coeur de donneuse?







14 commentaires:

  1. Un bel hommage aux donneuses. Je ne suis pas sûre que si j'avais pu et si je n'avais pas eu ce parcours, j'aurais songé à donner mes ovocytes (avant la PMA je ne savais même pas que çà existait). Ce qui me surprend c'est surtout la jeunesse des donneuses étrangères et qu'on puisse avoir cette démarche à cette âge là. Je me revois à leur âge et çà me semble inconcevable tellement ce genre de problème était loin de mes préoccupations.
    C'est vrai qu'on se pose beaucoup de question. Qui sont-elles ? comment en sont-elles venues à cette démarche ? En France, il y a très peu de donneuses et elles sont aussi plus âgées (je pense qu'il s'agit principalement d'amies ou membre de la famille de pmettes et qu'elles y ont été sensibilisées pour cela, d'où aussi l'âge plus avancé (les pmettes ont bien souvent passé la trentaine et forcément elles ont plutôt des copines dans leur tranche d'âge).
    Comment sont "recrutées" les donneuses étrangères ? On nous dit qu'il s'agit pour beaucoup d'étudiantes et qu'il y aurait des campagnes de sensibilisation dans les universités.
    Tu verras, le regard que tu portes aussi quand tu vas te rendre dans le pays est très différent. Dans la rue, le métro, je ne pouvais m'empêcher d'observer les jeunes femmes en me disant ; "tiens peut-être que ma donneuse lui ressemble"!
    En tout cas merci à elles, quelles que soit leur parcours et leur motivation, de nous offrir cette chance.

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    1. Bonjour Cassiopée...Ma réponse a buguée alors je retente...
      j'écrivais que pareillement dans une autre vie je ne suis pas certaine que j'aUrais naturellement donné mes ovocytes, ça ne serait pas venu comme ça, ça n'est pas évident du tout, je n'aurais jamais franchi le pas, c'est sûr.C'est d'autant plus impressionnant et que ça me touche de la part de ces femmes bien courageuses et généreuses!
      Ensuite à l'étranger je ne sais pas trop comment cela se passe le recrutement je sais juste qu'il y a un quota à ne pas dépasser par clinique mais pas de contact entre clinique donc au final pas de contrôle ...mais bon je ne pense pas que beaucoup de donneurs ou donneuses courent le pays pour donner, ça ne vaut pas le coup en finance .
      Peut être plus simple pour les hommes certes .
      J'aurais bien aimé avoir des infos de ce côté du miroir , du recrutement et comment ils sont appréhendés etc....c'est intéréssant.
      Comme tu le dis, je vais complètement me laisser emporter à dévisager les nanas et me dire c'est peut-être elle, ou sa soeur, cousine ou amie d'école....ça je vais ma laisser emporter crois moi !
      Je te souhaite un très bon week -end à très bientôt !bisous bisous

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  2. Merci pour tous ces liens que j'ai commencé à lire, je n'avais jamais lu de témoignages de donneuses. Il y a des femmes altruistes, généreuses, merveilleuses. Je ne sais pas si j'aurai fait le pas de donner (si je n'avais pas eu mon IO), je ne sais pas si j'aurai donné mes embryons surnuméraires si on en avait eus. Je ne sais pas si j'aurai été sensibilisée au don si je n'avais pas connu de moi même la PMA.
    Et pourtant j'ai remercié et béni ces femmes qui nous donnaient la possibilité d'avoir des enfants le jour où j'ai su que j'étais en IO.
    Alors je vais prendre le temps pour lire ces témoignages.
    Bisous

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    1. Bonjour Elm ;
      Contente de te lire, n'as tu pas lu mon comm sur ton blog.
      Ecris moi sur contes de fiv@yahoo.fr car je ne sais plus si j'ai ton bon mail d'hotmail c'est ça??? et ton adresse postale je l'ai égaré en déménageant mon bureau grrr....je voulais t'envoyer un mot.

      Comme tu vois je suis en ce moiment passionnée par es réflexions autour du don, en fait des donneuses, ça m'impressionne.
      Je sais en plus que je ne l'aurais moi même pas fait , trop la trouille des effets....et la sensibilisation est beaucoup trop discrète à moins d'avoir quelqu'un de proche dans le cas...on passe souvent à côté .
      Par contre oui j'aurais été capable de donner des embryons surnuméraires mais bon y en a pas eu alors ça ne s'est pas présenté !
      Les témoignages ne sont vraiment pas nombreux sur le net ...

      Je t'embrasse ainsi que la famille entière toute réunis et UNIS !

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  3. Bonjour, je pense beaucoup au don depuis mon accouchement en juin dernier. Le bonheur qui me submerge au quotidien depuis la naissance de mon enfant m'a énormément sensibilisée à la question de l'infertilité, et je souhaiterais donner une chance à un couple en mal d'enfant de connaître cette joie. À ce stade de mes réflexions, deux choses m'empêchent de sauter le pas : la peur des traitements et des rares risques qui leur sont associés et aussi la toute première réaction de mon conjoint, qui a eu le sentiment que je ne lui réservais pas mon exclusivité. Je lui ai expliqué mon point de vue sur la question et il a compris et me soutient dans mon projet, mais malgré tout cette première réaction me questionne. Voilà pour les idées qui peuvent traverser l'esprit d'une femme de 27 ans en réflexion sur le don !

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    1. Bonjour et bienvenue....
      Alors effectivement j'ai lu que souvent le désir de donner ses ovocytes arrivait après avoir soi même donné la vie.
      Que cet immense bonheur déborde tant (j'en reviens pas il me tarde qu'un jour cela m'arrive....) que l'on voudrait que d'autres femmes puissent connaitre cette joie .C'est quand même très beau comme sentiment.
      Ca n'est pas le cas de toutes les femmes bien sûr mais cela note votre sensibilité à la maternité et votre générosité.
      Après il peut aussi s'agir d'une connaissance ou une rencontre qui vous sensibilise bien que le sujet soit encore bien tabou alors que je suis sûre qu'il y a bon nombre de femmes qui attendent un don pour réduire l'attente dans les cecos.
      Maintenant il faut franchir le pas, ça n'est pas évident.
      Il y a les démarches à faire ,les prises de contact etc... le traitement, effectivement pas simple à comprendre pour le conjoint j'imagine bien.
      Il ne voit pas trop je pense pourquoi ça vous tient tellement à coeur et peut être fait l'amalgame entre vos enfants et vos ovocytes .
      Peut être aussi se sent il à part et préfèrerait vous voir déjà largement assez heureuse de votre petite famille .Ce qui est normal chez nos hommes.
      Donc peut être vous mettre d'accord et lui expliquer petit à petit pourquoi cela vous tient vraiment à coeur et le rassurer sur votre propre bonheur.
      Pour l'autre crainte , les traitements, c'est quelques contraintes de piqures , ça fait parti du processus et c'est indissociable pour stimuler un max les ovocytes.Pour ce sujet chacun doit le sentir ou pas.Je ne vous dirais pas que c'est rien , mais je ne vous dirais pas non plus que c'est infaisable.
      Je vous félicite déjà de votre envie et de votre réflexion et reste admirative de votre solidarité et interêt pour des femmes qui souffrent .

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    2. Merci pour votre réponse, vos propos sont très justes quant à l'orientation de la discussion avec mon conjoint. Quant à la question des traitements, je souhaiterais surtout savoir s'ils comportent un risque pour ma propre fertilité... J'ai lu sur un site que oui, mais que le risque est infime. Je crois que le mieux serait de prendre rendez-vous avec un professionnel pour être plus directement informée. Plus j'y pense, plus je trouve que le don aurait beaucoup de sens pour moi, au regard de mon histoire personnelle. Merci en tous les cas de m'aider à cheminer.

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  4. Bonjour, la lecture de la blogosphere pma nous informe et nous amène à la réflexion notamment sur le don. Vaste sujet. Maman de jumeaux issus d'une fiv, j'avoue m'interroger souvent sur nos embryons congelés. Tu dois me trouver égoïste mais je n'envisage pas le don, j'aurais l'impression de donner mes enfants. Je ne dois pas être la seul à penser ainsi. Je ne veux pas te peiner car le don est ta solution et je le comprends. J'exposais juste mon point de vue et celui de beaucoup je pense. Ton parcours, ta réflexion, ta sensibilité nous touchent toutes. Je me mets à ta place et je comprends tes questions. Tu peux te dire qu'à ta façon tu fais avancer les choses. Bon courage

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    1. Bonjour !!!! Ah la la !!!! Je ne juge pas ta réaction !

      Moi même j'ai été surprise de m'emmouracher de mes petits embryons ou congelés de fiv en fiv, ils étaient déjà des possibles bébés en devenir avec leurs nombres de cellules qui poussent tous les jours ! On s'accroche à eux.
      Je n'ai jamais pensé à les abandonner ou les donner car je n'ai pas eu le temps ni le surnombre car pas de grossesse au final.

      Par contre et cela n'engage que moi ! si j'avais eu des enfants et que sûre je n'en voulais plus, je n'aurais pu non plus laisser ses bryons tout seuls dans le froid ça m'aurait déchiré le coeur de les laisser en suspens entre deux mondes , bon c'est perso je le répète !!!!
      Alors je les aurais confié à un couple en mal d'enfant c'est sûr. ( quoi faire d'autres ,)
      Sans sentir les abandonnés au contraire car au pire ils seraient restés jusqu'à destruction....

      Mais je comprends et je conçois AUSSI très bien que l'on n'y soit pas prêts ou que ça ne soit pas du tout concevable pour un couple que de les donner car plus besoin.

      Dans le cas de figure que tu présentes il s'agit de dons d'embryons surnuméraires et c'est quand même un peu autre chose que le don d'ovocyte qui est un don des femmes de quelques cellules, c'est pas encore un embryon c'est une moitié de sa capacité à en devenir en fait...
      Les embryons surnuméraires sont déjà un mélange de toi et ton homme, ils snt déjà des embryons, ils ont une histoire , tu les attendus, ils ont tes enfants en frères ou soeurs....etc...je conçois que les donner ne soient pas du tout envisageables !
      D'autant plus que je ne sais pas si les couples qui donnent savent ou pas si la grossesse a abouti ou pas, je ne sais pas , j'en doute, je pense qu'à partir du moment ou ils sont donné on ne sait plus rien.Cela veut dire que le couple ne saura jamais ce qu'ils sont devenus...tandis qu'au congel au moins ils sont là .
      Je ne suis pas peinée de ta réflexion au contraire j'aime à lire les diverses opinions de chacunes.

      Je pense que lorsque une femme ou un homme ou un couple se décide à donner leur ovocytes , spermato ou embryons ( c'est déjà plus compliqué ) il faut en être détaché et ne plus les considérer comme nos possibles enfants mais comme un don (ça porte trop bien son nom) un don d'un peu d'espoir (car en plus rien n'est sûr que ça fonctionne hein !!!) sans voir les choses comme ça , je ne vois pas comment on peut envisager de faire un don.

      Tout cela n'est pas évident et chacun fait selon son ressenti !
      Merci à bientôt !

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  5. S'agissant des embryons surnuméraires, quand je suis allée en Espagne, sur les feuilles de consentement, ils te demandent de choisir ce que tu feras des embryons surnuméraires s'il y en a. Plusieurs options : les congeler pour les réutiliser pour toi lors d'un prochain transfert (si le 1er n'a pas marché ou pour une tentative de deuxième grossesse si çà a marché), les donner en vue d'un accueil d'embryon, les donner pour la recherche, les détruire. Dans un premier temps, il est évident qu'on choisit de les garder pour soi mais par contre si je n'en avais plus eu besoin pour moi (par exemple, je suis directement enceinte de jumeaux), je sais que je n'aurais pas pu envisager autre chose que de les donner pour que quelqu'un d'autre puisse peut-être devenir parent, un peu grâce à moi (je pense effectivement qu'on ne sait pas lorsqu'on donne ses embryons s'ils ont finalement donné une grossesse et c'est tant mieux je pense).
    Après je pense que c'est une démarche très personnelle. Je sais qu'après mon parcours, jamais je ne pourrais envisager de "détruire" des embryons qui pourraient peut-être représenter une chance pour d'autres. Et ayant eu moi-même besoin des autres (d'ailleurs je n'exclue pas le recours à l'accueil d'embryon si la fiv DO ne marche pas, pour des raisons financières, principalement, l'accueil d'embryon étant 3 fois moins cher que la fiv DO), cela me paraît naturel. Par contre, je ne juge pas ceux qui pensent différemment, notamment la personne ci-dessus. Je comprends que son raisonnement puisse être différent, d'abord parce qu'elle est déjà maman et en plus elle n'a pas eu elle-même d'après ce que je comprends eu besoin d'un don donc ce sont des embryon issus de leur couple. Quand on est passé au don, on a déjà mené une réflexion différente puisqu'on a renoncé à l'enfant "génétique" et accepté (parfois avec difficulté) une vision autre de la parentalité.

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    1. Salut Cassiopée,
      Je te rejoins pour donner les embryons qu'il reste suite à un désir d'enfant comblé.
      Et je te rejoinds aussi sur le fait que c'est un choix personnel.

      Pour le sujet du don d'embryon à l'étranger, je trouve que c'est une bonne alternative plus économique d'autant plus.
      Surtout lorsqu'il s'agit de couple en double don il n'y a pas de différence finalement... puisque les deux parties ont recours à des gamètes ..

      Certains disent qu'il y a moins de chance de réussite et pourtant je ne le vois pas comme ça, car s'ils sont en surnombre c'est que les premiers essais on aboutit donc ils ont aussi leur chance de donner des bébés...bien sûr ils sont de qualité inférieures que les premiers transférés puisqu'on transfère d'abord les meilleurs , mais c'est aussi pour cela que c'est moins cher.

      Je trouve pas mal le principe et bizarrement c'est pas encore dans les moeurs mais ça va venir...il y a tant d'embryons congelés en attente...c'est aussi de l'adoption finalement c'est génial !bisous

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  6. Merci pour vos réponses pleines de tact. Alors oui pas de don pour nous mais une réponse de gynécologue qui m'a dérangée. Nous étions en mai 2013, cela a peut être changé. Elle m'a dit que le don se faisait dans le même département. "On prend un tel risque ?", sourire ennuyé. Bref, le sujet est franchement éludé dans mon centre du moins. En tout cas vos réponses m'ont touchée car sans polémique et pleine d'empathie. Bon courage à vous Florence

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    1. Bonjour!
      Effectivement je trouve la remarque de votre gynéco assez déplacé...
      bien que je ne connaisse pasle contexte et les limites professionnelles des gynécos, je ne vois pas pourquoi il donne ce genre de détails qui justement n'a pas lieu d'être du tout.
      Et franchement demander à ses patients le risque qu'il y a ou pas à prendre c'est prendre le sujet à la légère franchement et pas très pro de sa part de vous prendre à partie.
      ....Je comprends c'est déstabilisant et vraiment il n'aurait rien dû évoquer.Voilà mon avis.
      Merci à vous et belle journée ! à bientôt

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